Suivez moi sur les réseaux sociaux
Dans la Peau du « Gars de la shop »: Ma Journée Intense sur le Plateau d’Indéfendable!
Le 26 juillet dernier, lors de la 51e journée de tournage d’Indéfendable à Longueuil, mon rôle du « Gars de la shop » m’a offert plus qu’une simple participation professionnelle. Ce fut l’occasion inattendue et particulièrement agréable de renouer avec Mathieu Baron. Nos parcours s’étaient croisés il y a près de deux décennies, sur les bancs des Ateliers Danielle Fichaud en 2006-2007 – une époque où il naviguait les eaux médiatiques post-Loft Story, entre porte-parolats (Encans H. Grégoire) et chroniques télé (FLASH à TQS). Le retrouver aujourd’hui, acteur au succès établi mais demeuré remarquablement accueillant et généreux comme partenaire de scène, fut un constat humain appréciable. Travailler avec lui fut un réel plaisir.
L’Effervescence Maîtrisée : Un Écosystème en Action
L’activité sur les différents sites, notamment l’atelier de débosselage qui constituait mon principal décor, témoignait dès les premières heures d’une organisation rigoureuse. Ce qui frappe d’emblée sur un plateau comme celui-ci, c’est cette capacité à conjuguer l’urgence inhérente au format télévisuel avec une maîtrise technique et artistique indéniable. Chaque département, sous l’impulsion discrète mais ferme de la réalisatrice Mariane McGraw, fonctionne en synergie. Il y a là une forme d’intelligence collective au service du récit, une mécanique de précision où chaque geste, de la direction photo d’Amélie Douville à la régie de plateau, semble calibré. Mon arrivée s’est inscrite sans heurt dans ce flux orchestré.
Se retrouver en scène face à des comédiens de cette trempe est toujours révélateur. Il ne s’agit pas seulement d’admiration, mais d’une observation attentive de leur présence, de leur écoute, de la manière dont ils habitent l’instant et modulent l’intensité – que ce soit dans la confrontation directe de l’interrogatoire mené par Maxime ou dans la tension sous-jacente des échanges avec Costas. Dans ces moments-là, l’enjeu est de s’insérer dans cette vérité scénique, de répondre avec justesse. Et c’est là que l’importance d’arriver bien préparé, avec un texte maîtrisé et un personnage clairement défini, prend tout son sens. C’est cette base solide qui permet de livrer une performance crédible et de naviguer la scène avec confiance.
L’Alchimie du Jeu : Partenaires d’Intensité
Le cœur de ma journée, évidemment, c’était de jouer. Et j’ai été servi ! Donner la réplique à Mathieu Baron (Maxime Dubois) et Bruno Verdoni (Costa Papadopoulos) fut un moment fort. Le fait que certaines scènes demandaient une certaine intensité physique (la présence de cascadeurs et de service médical était prévue) ajoutait au réalisme et à la concentration requise sur le plateau.
Quand tu joues face à des acteurs comme Mathieu et Bruno, tu sens l’intensité monter. Que ce soit dans la confrontation plus directe avec Maxime ou la tension palpable avec Costas, leur engagement est total. Ça te force à être présent, à l’écoute, à réagir dans l’instant. C’est ça, le jeu. C’était un défi stimulant et un véritable plaisir de partager ces scènes avec eux, de construire quelque chose ensemble, même le temps de quelques répliques.
Jouer avec la Technique : S’adapter et Livrer
Tourner pour la télé, surtout avec une approche comme celle d’Indéfendable qui utilise souvent deux caméras, ça demande une certaine adaptation de l’acteur.
Tu dois toujours être conscient que tu peux être filmé sous différents angles. Ça demande une constance dans ton jeu, une énergie soutenue. Ce n’est pas une contrainte, au contraire, ça fait partie du métier. C’est intéressant de voir comment la technique est là pour servir l’histoire et capter au mieux ce qui se passe.
La Force du Collectif : Une Équipe Soudée
Ce qui me reste de cette journée, au-delà de mes propres scènes, c’est vraiment le sentiment d’avoir participé à un effort collectif. Une série comme Indéfendable, ça ne se fait pas tout seul. Tu vois tous les départements travailler de concert, chacun expert dans son domaine, de la production aux techniciens, costumiers, maquilleurs… Tout le monde est là pour que la magie opère. Quitter le plateau le soir, après une journée bien remplie, tu ressens une vraie satisfaction et beaucoup de respect pour tous ces gens passionnés. C’est gratifiant de faire partie de ça.
Nombreux sont ceux qui m’ont écrit pour partager leur plaisir à découvrir le Gars de la shop, le qualifiant souvent de ‘fendant’. Le plus étonnant, c’est que cet intérêt – jusqu’à souhaiter en savoir plus sur lui – concernait un personnage sans nom défini, présent seulement dans deux épisodes. Réaliser qu’on peut marquer les esprits, intriguer de la sorte avec une présence aussi limitée, c’est la preuve que chaque rôle compte. Ça m’a sincèrement ravi et c’est extrêmement valorisant comme acteur.
Preuve que même un passage éphémère peut marquer l’imaginaire, et c’est là toute la magie de la fiction et du travail d’acteur.
D’autres projets auxquels j’ai participé

Suivez moi sur les réseaux sociaux
Dans la Peau du « Gars de la shop »: Ma Journée Intense sur le Plateau d’Indéfendable!
Le 26 juillet dernier, lors de la 51e journée de tournage d’Indéfendable à Longueuil, mon rôle du « Gars de la shop » m’a offert plus qu’une simple participation professionnelle. Ce fut l’occasion inattendue et particulièrement agréable de renouer avec Mathieu Baron. Nos parcours s’étaient croisés il y a près de deux décennies, sur les bancs des Ateliers Danielle Fichaud en 2006-2007 – une époque où il naviguait les eaux médiatiques post-Loft Story, entre porte-parolats (Encans H. Grégoire) et chroniques télé (FLASH à TQS). Le retrouver aujourd’hui, acteur au succès établi mais demeuré remarquablement accueillant et généreux comme partenaire de scène, fut un constat humain appréciable. Travailler avec lui fut un réel plaisir.
L’Effervescence Maîtrisée : Un Écosystème en Action
L’activité sur les différents sites, notamment l’atelier de débosselage qui constituait mon principal décor, témoignait dès les premières heures d’une organisation rigoureuse. Ce qui frappe d’emblée sur un plateau comme celui-ci, c’est cette capacité à conjuguer l’urgence inhérente au format télévisuel avec une maîtrise technique et artistique indéniable. Chaque département, sous l’impulsion discrète mais ferme de la réalisatrice Mariane McGraw, fonctionne en synergie. Il y a là une forme d’intelligence collective au service du récit, une mécanique de précision où chaque geste, de la direction photo d’Amélie Douville à la régie de plateau, semble calibré. Mon arrivée s’est inscrite sans heurt dans ce flux orchestré.
Se retrouver en scène face à des comédiens de cette trempe est toujours révélateur. Il ne s’agit pas seulement d’admiration, mais d’une observation attentive de leur présence, de leur écoute, de la manière dont ils habitent l’instant et modulent l’intensité – que ce soit dans la confrontation directe de l’interrogatoire mené par Maxime ou dans la tension sous-jacente des échanges avec Costas. Dans ces moments-là, l’enjeu est de s’insérer dans cette vérité scénique, de répondre avec justesse. Et c’est là que l’importance d’arriver bien préparé, avec un texte maîtrisé et un personnage clairement défini, prend tout son sens. C’est cette base solide qui permet de livrer une performance crédible et de naviguer la scène avec confiance.
L’Alchimie du Jeu : Partenaires d’Intensité
Le cœur de ma journée, évidemment, c’était de jouer. Et j’ai été servi ! Donner la réplique à Mathieu Baron (Maxime Dubois) et Bruno Verdoni (Costa Papadopoulos) fut un moment fort. Le fait que certaines scènes demandaient une certaine intensité physique (la présence de cascadeurs et de service médical était prévue) ajoutait au réalisme et à la concentration requise sur le plateau.
Quand tu joues face à des acteurs comme Mathieu et Bruno, tu sens l’intensité monter. Que ce soit dans la confrontation plus directe avec Maxime ou la tension palpable avec Costas, leur engagement est total. Ça te force à être présent, à l’écoute, à réagir dans l’instant. C’est ça, le jeu. C’était un défi stimulant et un véritable plaisir de partager ces scènes avec eux, de construire quelque chose ensemble, même le temps de quelques répliques.
Jouer avec la Technique : S’adapter et Livrer
Tourner pour la télé, surtout avec une approche comme celle d’Indéfendable qui utilise souvent deux caméras, ça demande une certaine adaptation de l’acteur.
Tu dois toujours être conscient que tu peux être filmé sous différents angles. Ça demande une constance dans ton jeu, une énergie soutenue. Ce n’est pas une contrainte, au contraire, ça fait partie du métier. C’est intéressant de voir comment la technique est là pour servir l’histoire et capter au mieux ce qui se passe.
La Force du Collectif : Une Équipe Soudée
Ce qui me reste de cette journée, au-delà de mes propres scènes, c’est vraiment le sentiment d’avoir participé à un effort collectif. Une série comme Indéfendable, ça ne se fait pas tout seul. Tu vois tous les départements travailler de concert, chacun expert dans son domaine, de la production aux techniciens, costumiers, maquilleurs… Tout le monde est là pour que la magie opère. Quitter le plateau le soir, après une journée bien remplie, tu ressens une vraie satisfaction et beaucoup de respect pour tous ces gens passionnés. C’est gratifiant de faire partie de ça.
Nombreux sont ceux qui m’ont écrit pour partager leur plaisir à découvrir le Gars de la shop, le qualifiant souvent de ‘fendant’. Le plus étonnant, c’est que cet intérêt – jusqu’à souhaiter en savoir plus sur lui – concernait un personnage sans nom défini, présent seulement dans deux épisodes. Réaliser qu’on peut marquer les esprits, intriguer de la sorte avec une présence aussi limitée, c’est la preuve que chaque rôle compte. Ça m’a sincèrement ravi et c’est extrêmement valorisant comme acteur.
Preuve que même un passage éphémère peut marquer l’imaginaire, et c’est là toute la magie de la fiction et du travail d’acteur.