Suivez moi sur les réseaux sociaux
La Mélancolite: Dans l’esprit farfelu de Bruno Blanchet
Pour un acteur, avoir la chance de côtoyer une icône de l’humour québécois comme Bruno, c’est déjà un cadeau en soi. Mais plonger dans son univers créatif, c’était carrément magique!
L’Univers Absurde et Touchant de La Mélancolite
Pour ceux qui ne l’ont pas vue, La Mélancolite (disponible sur ICI Tou.tv) nous ramène Bruno aux côtés de son éternel complice, Guy Jodoin. L’histoire ? Guy souffre de « mélancolite », une sorte de nostalgie aiguë du « bon vieux temps ». Bruno revient alors de loin pour lui remonter le moral, l’entraînant (avec le neveu de Guy, joué par FouKi) dans une quête un peu folle à travers le Québec pour lui prouver que le présent vaut aussi la peine d’être vécu.
Sur le plateau, j’ai entendu un des acteurs demander à Bruno si le fait d’avoir écrit cette série était pour lui une façon de faire revivre ses vieux personnages et rappeler ses capsules délirantes d’antan avec Guy Jodoin, sa réponse a été claire : « Exactement! »
Quand le Passé Rencontre le Présent : Le Retour des Personnages Cultes
L’un des aspects les plus excitants d’avoir eu le bonheur de participer au tournage de cette série, c’était de voir renaître les personnages mythiques de Bruno aux premières loges! Et ce n’était pas juste pour faire plaisir aux fans. Dans le scénario, ces personnages sont littéralement décrits comme les « fantômes de son passé, qui le rattraperont, littéralement. » Voir Tite-Dent, Madame Totonski ou le P’tit bonhomme pas de cou débarquer sur le plateau, c’était comme assister à une réunion improbable entre différentes époques de l’humour québécois. C’était la preuve vivante de l’intemporalité de ses créations.
Les Coulisses : Adaptation et Créativité Spontanée
Ce que le public ne voit pas toujours, ce sont les défis de la production. J’ai eu la chance d’en discuter un peu avec Bruno entre deux prises. Il m’a confié que l’idée de départ, telle qu’écrite dans le scénario, impliquait vraiment une « course à travers le Québec ». Cependant, les réalités budgétaires ont fait en sorte que le tournage a dû être concentré principalement sur la Rive-Sud de Montréal. C’est fascinant de voir comment une vision créative doit parfois s’adapter aux contraintes, et ça rend le résultat final encore plus impressionnant quand on sait les obstacles surmontés.

Mais le moment le plus incroyable pour moi, ça reste un après-midi où nous attendions pour tourner une scène. Pour passer le temps, et sans doute pour nous détendre, Bruno s’est lancé dans une improvisation complète dans la peau d’un nouveau personnage développé spécifiquement pour la série et qui n’avait encore jamais été présenté au public. Assister à ça, voir son génie créatif jaillir en direct, sans filet… C’était un privilège immense et un souvenir que je chérirai toujours. C’est ça, la magie Bruno Blanchet: une créativité débordante, capable de surgir à tout moment.
Travailler avec Bruno : Une Leçon de Passion et de Folie
Au-delà de l’artiste, j’ai découvert un collaborateur passionné, généreux et incroyablement investi. Son énergie sur le plateau était contagieuse. On sentait vraiment cette flamme dont il parlait dans le 7 Jours :
« La passion est la flamme qui nous consume, ce désir d’être un petit peu plus fou. »
Encore de nouveaux amis acteurs, passionnés…

Au-delà du privilège de travailler avec une légende comme Bruno, un tournage, c’est aussi et surtout une aventure humaine. Et sur La Mélancolite, j’ai eu la chance incroyable de faire de superbes rencontres et de me faire de nouveaux amis parmi les autres acteurs. L’ambiance était vraiment géniale, et je tiens à saluer quelques-uns de ces collègues talentueux avec qui j’ai partagé le plateau :
- Rémi (Will) Nicolas : Il y avait le fascinant Rémi Will Nicolas. Un gars aux multiples talents – non seulement acteur membre de l’UDA et ACTRA avec déjà de nombreuses journées de tournage à son actif, mais aussi entrepreneur et policier instructeur à la Sûreté du Québec! C’était vraiment intéressant d’échanger avec quelqu’un au parcours aussi diversifié.
- Jeff Lemay : Quelle énergie que celle de Jeff Lemay ! Un acteur et réalisateur hyper actif, que vous avez sûrement vu passer récemment dans une foule de séries télé québécoises et de courts métrages. C’était génial de partager des scènes avec un comédien aussi prolifique, dynamique et sympathique.
- Kev (Kevork) Igidbashian : Et également Kev Igidbashian. Un gars en or avec qui on parle de tout dans de belles discussions entre les prises. Parfois, les liens qu’on tisse en attendant de tourner sont aussi précieux que le travail devant la caméra !
Ces rencontres ont vraiment enrichi mon expérience sur La Mélancolite et ont grandement contribué à la belle chimie et à l’atmosphère positive qui régnaient sur le plateau. C’est aussi ça, la magie de notre métier ! J’ai bien hâte de retravailler avec chacun de vous!
D’autres projets auxquels j’ai participé

Suivez moi sur les réseaux sociaux
La Mélancolite: Dans l’esprit farfelu de Bruno Blanchet
Pour un acteur, avoir la chance de côtoyer une icône de l’humour québécois comme Bruno, c’est déjà un cadeau en soi. Mais plonger dans son univers créatif, c’était carrément magique!
L’Univers Absurde et Touchant de La Mélancolite
Pour ceux qui ne l’ont pas vue, La Mélancolite (disponible sur ICI Tou.tv) nous ramène Bruno aux côtés de son éternel complice, Guy Jodoin. L’histoire ? Guy souffre de « mélancolite », une sorte de nostalgie aiguë du « bon vieux temps ». Bruno revient alors de loin pour lui remonter le moral, l’entraînant (avec le neveu de Guy, joué par FouKi) dans une quête un peu folle à travers le Québec pour lui prouver que le présent vaut aussi la peine d’être vécu.
Sur le plateau, j’ai entendu un des acteurs demander à Bruno si le fait d’avoir écrit cette série était pour lui une façon de faire revivre ses vieux personnages et rappeler ses capsules délirantes d’antan avec Guy Jodoin, sa réponse a été claire : « Exactement! »
Quand le Passé Rencontre le Présent : Le Retour des Personnages Cultes
L’un des aspects les plus excitants d’avoir eu le bonheur de participer au tournage de cette série, c’était de voir renaître les personnages mythiques de Bruno aux premières loges! Et ce n’était pas juste pour faire plaisir aux fans. Dans le scénario, ces personnages sont littéralement décrits comme les « fantômes de son passé, qui le rattraperont, littéralement. » Voir Tite-Dent, Madame Totonski ou le P’tit bonhomme pas de cou débarquer sur le plateau, c’était comme assister à une réunion improbable entre différentes époques de l’humour québécois. C’était la preuve vivante de l’intemporalité de ses créations.
Les Coulisses : Adaptation et Créativité Spontanée
Ce que le public ne voit pas toujours, ce sont les défis de la production. J’ai eu la chance d’en discuter un peu avec Bruno entre deux prises. Il m’a confié que l’idée de départ, telle qu’écrite dans le scénario, impliquait vraiment une « course à travers le Québec ». Cependant, les réalités budgétaires ont fait en sorte que le tournage a dû être concentré principalement sur la Rive-Sud de Montréal. C’est fascinant de voir comment une vision créative doit parfois s’adapter aux contraintes, et ça rend le résultat final encore plus impressionnant quand on sait les obstacles surmontés.

Mais le moment le plus incroyable pour moi, ça reste un après-midi où nous attendions pour tourner une scène. Pour passer le temps, et sans doute pour nous détendre, Bruno s’est lancé dans une improvisation complète dans la peau d’un nouveau personnage développé spécifiquement pour la série et qui n’avait encore jamais été présenté au public. Assister à ça, voir son génie créatif jaillir en direct, sans filet… C’était un privilège immense et un souvenir que je chérirai toujours. C’est ça, la magie Bruno Blanchet: une créativité débordante, capable de surgir à tout moment.
Travailler avec Bruno : Une Leçon de Passion et de Folie
Au-delà de l’artiste, j’ai découvert un collaborateur passionné, généreux et incroyablement investi. Son énergie sur le plateau était contagieuse. On sentait vraiment cette flamme dont il parlait dans le 7 Jours :
« La passion est la flamme qui nous consume, ce désir d’être un petit peu plus fou. »
Encore de nouveaux amis acteurs, passionnés…

Au-delà du privilège de travailler avec une légende comme Bruno, un tournage, c’est aussi et surtout une aventure humaine. Et sur La Mélancolite, j’ai eu la chance incroyable de faire de superbes rencontres et de me faire de nouveaux amis parmi les autres acteurs. L’ambiance était vraiment géniale, et je tiens à saluer quelques-uns de ces collègues talentueux avec qui j’ai partagé le plateau :
- Rémi (Will) Nicolas : Il y avait le fascinant Rémi Will Nicolas. Un gars aux multiples talents – non seulement acteur membre de l’UDA et ACTRA avec déjà de nombreuses journées de tournage à son actif, mais aussi entrepreneur et policier instructeur à la Sûreté du Québec! C’était vraiment intéressant d’échanger avec quelqu’un au parcours aussi diversifié.
- Jeff Lemay : Quelle énergie que celle de Jeff Lemay ! Un acteur et réalisateur hyper actif, que vous avez sûrement vu passer récemment dans une foule de séries télé québécoises et de courts métrages. C’était génial de partager des scènes avec un comédien aussi prolifique, dynamique et sympathique.
- Kev (Kevork) Igidbashian : Et également Kev Igidbashian. Un gars en or avec qui on parle de tout dans de belles discussions entre les prises. Parfois, les liens qu’on tisse en attendant de tourner sont aussi précieux que le travail devant la caméra !
Ces rencontres ont vraiment enrichi mon expérience sur La Mélancolite et ont grandement contribué à la belle chimie et à l’atmosphère positive qui régnaient sur le plateau. C’est aussi ça, la magie de notre métier ! J’ai bien hâte de retravailler avec chacun de vous!















